Pourquoi la plupart des cosmétiques naturels ne sont pas bons pour votre peau
On veut bien faire.
On veut mieux consommer.
On veut dire adieu aux perturbateurs endocriniens, aux parabens, aux crèmes qui sentent la pétrochimie.
Alors on se tourne vers le naturel. 🌿
Bonne intention.
Mauvaise surprise.
Parce que très souvent, au lieu de soigner la peau, on ne fait que remplacer un problème par un autre.
Résultat ? Rougeurs, tiraillements, boutons.
Et une peau qui se demande pourquoi on lui complique encore la vie.
Naturel ne veut pas dire adapté
Aujourd’hui, le mot naturel est partout.
Écrit en gros sur les étiquettes, entouré de petites feuilles vertes, vendu comme LA promesse d’un soin plus sain.
Mais soyons honnêtes :
“Naturel” ne veut pas dire “bénéfique”.
Ni même “inoffensif”.
Il y a une énorme différence entre :
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un ingrédient naturel issu de rituels ancestraux, biocompatible avec la peau humaine,
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et un ingrédient naturel mal dosé, instable, ou carrément irritant.
3 problèmes qu’on retrouve souvent dans les cosmétiques dits naturels
1. Des listes d’ingrédients à rallonge
Même dans les crèmes estampillées “clean beauty”, on trouve souvent :
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10 à 20 ingrédients,
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des émulsifiants végétaux industriels,
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des huiles qui s’oxydent vite,
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et des conservateurs “acceptables”… mais mal tolérés.
La vérité, c’est que la peau n’a pas besoin de tout ça.
Elle veut des lipides stables, des formules simples, et des ingrédients qu’elle peut assimiler sans stress.
2. L’abus d’huiles essentielles
Lavande, tea tree, menthe poivrée…
On vous vend ça comme un bonus sensoriel.
Mais la réalité ? Les huiles essentielles sont trop puissantes.
Mal dosées, elles peuvent :
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irriter,
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déclencher des rougeurs,
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provoquer des réactions à retardement,
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sensibiliser durablement la peau.
Et pourtant, elles sont présentes dans la majorité des crèmes “naturelles”.
Souvent juste pour masquer une mauvaise odeur.
Chez PRIMALI, on a fait un choix clair : pas d’huiles essentielles (et si un jour on en utilise, ce sera à la bonne dose, pour de bonnes raisons).
3. Des ingrédients végétaux instables
Certaines huiles végétales rancissent vite.
Une fois oxydées, elles deviennent carrément pro-inflammatoires.
C’est le cas des huiles riches en oméga-6 comme le tournesol ou le pépin de raisin, ou des huiles mal extraites, mal stockées.
En résumé :
Un soin peut être bio, vegan, 100 % naturel…
et quand même abîmer la peau.
Une peau sensibilisée, même en “clean beauty”
On entend souvent les mêmes témoignages :
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“Je suis passée au naturel, mais ma peau est toujours sèche.”
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“Je fais tout bien, mais j’ai encore des rougeurs.”
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“J’ai même l’impression que c’est pire qu’avant.”
Et c’est normal.
Parce qu’un soin, aussi naturel soit-il, doit respecter la structure de la peau.
Et ça, très peu de marques le font vraiment.
Ce que PRIMALI fait différemment
Pas de compromis.
Pas de greenwashing.
Pas de promesses creuses.
Notre soin phare, Le Baume Original, c’est 4 ingrédients. Pas un de plus.
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Graisse de bœuf purifiée (biocompatible avec le sébum humain)
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Huile de jojoba (stable, équilibrante)
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Miel brut (hydratant, cicatrisant, antibactérien)
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Cire d’abeille (protectrice, respirante)
👉 Pas de parfum.
👉 Pas de conservateur.
👉 Pas d’eau.
Juste une formule qui respecte la peau. Et qui marche.
Pour aller plus loin
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Les 4 ingrédients de notre baume, et pourquoi on n’en ajoutera jamais un de plus
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Graisse de bœuf pour la peau : l'ingrédient ancestral qui change tout
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Pourquoi la plupart des cosmétiques naturels ne sont pas bons pour votre peau
En résumé
Le problème, ce n’est pas le naturel.
C’est ce qu’on met derrière ce mot.
Chez PRIMALI, on ne se cache pas derrière un label ou une tendance.
On fait des soins qui parlent le même langage que votre peau.
Pas de superflu.
Pas de toxines déguisées.
Juste du vrai soin.
Votre peau mérite mieux que du marketing.
Elle mérite du respect.